Aller au cinéma. C'était plus qu'un plaisir quand j'étais jeune - une évidence, presque une obligation.
J'allais au cinéma comme on respire. Je ne loupais aucune sortie. J'avais un avis sur tous les films. Aller les voir était une évidence.
Puis j'ai eu un peu moins de temps.Puis certains réalisateurs m'ont enquiquinés et je ne voyais plus l'obligation d'aller les voir : l'évidence ne s'imposait plus.
Puis j'ai eu du mal à aller voir des films avec des amis. Nos goûts se spécialisaient, et puis voilà qu'ils n'avaient plus le temps non plus. Du coup, ils faisaient social : ils allaient au cinéma avec leur mère, leur grand mère, leur tante, leur amis, bref, ils n'y allaient plus pour le film.
J'ai fait pareil aussi.
Et voilà, je ne vais plus au cinéma qu'une petite fois par mois...
J'allais au cinéma comme on respire. Je ne loupais aucune sortie. J'avais un avis sur tous les films. Aller les voir était une évidence.
Puis j'ai eu un peu moins de temps.Puis certains réalisateurs m'ont enquiquinés et je ne voyais plus l'obligation d'aller les voir : l'évidence ne s'imposait plus.
Puis j'ai eu du mal à aller voir des films avec des amis. Nos goûts se spécialisaient, et puis voilà qu'ils n'avaient plus le temps non plus. Du coup, ils faisaient social : ils allaient au cinéma avec leur mère, leur grand mère, leur tante, leur amis, bref, ils n'y allaient plus pour le film.
J'ai fait pareil aussi.
Et voilà, je ne vais plus au cinéma qu'une petite fois par mois...