mercredi 22 décembre 2010

La neige n’a pas bloqué seulement les routes, mais également les voies ferrées et les aéroports. Retards dans les trains, avions annulés… c’était vraiment la « pagaille » dans les transports en commun mercredi en fin de journée. La SNCF et la RATP ont fait état jeudi en fin d’après-midi d’un retour à la normale sur leurs réseaux. A Roissy comme à Orly, Aéroports de Paris (ADP) a annoncé un « retour progressif à la normale », signalant toutefois « des retards d’une à deux heures en moyenne ».

dimanche 19 décembre 2010

Le mot « patronyme », d’origine grecque, signifie « nom du père ». Il peut désigner deux sortes de nom différents :

* le nom de famille Page d'aide sur l'homonymie est un nom héréditaire qui se transmet de parent à enfant, en principe inchangé sur plusieurs générations ;
* le nom patronymique est, dans certaines cultures, le prénom du père d’une personne rappelé avec le prénom propre de cette personne (typiquement Xxx, fils de Yyy ou ben Yyy) ; il change donc à chaque génération.

mardi 16 novembre 2010

A faire ou pas. Les bonnes résolutions, est-ce que ça sert ? On ne sait pas. Mais pourquoi s'en priver...
Waouh !

Des petits liens vers des blogs que j'aime bien, il faut cliquer si je ne m'abuse.

jeudi 12 août 2010

Ma soeurette rousse a accouché mardi matin d'une petite fille.
Merci aux nouveaux parents qui viennent de nous rajouter un peu de douceur au monde, et qui vont trimer pendant 20 ans pour que leur petit bout de douceur enrichisse l'humanité.
Chuis toute émue. J'adore les naissances.

Je suppose qu'il va falloir que j'arrête de lui envoyer des vêtements de grossesse.

vendredi 16 juillet 2010

Aux Feuillantines

Mes deux frères et moi, nous étions tout enfants.
Notre mère disait: jouez, mais je défends
Qu'on marche dans les fleurs et qu'on monte aux échelles.

Abel était l'aîné, j'étais le plus petit.
Nous mangions notre pain de si bon appétit,
Que les femmes riaient quand nous passions près d'elles.

Nous montions pour jouer au grenier du couvent.
Et là, tout en jouant, nous regardions souvent
Sur le haut d'une armoire un livre inaccessible.

Nous grimpâmes un jour jusqu'à ce livre noir ;
Je ne sais pas comment nous fimes pour l'avoir,
Mais je me souviens bien que c'était une Bible.

Ce vieux livre sentait une odeur d'encensoir.
Nous allâmes ravis dans un coin nous asseoir.
Des estampes partout ! quel bonheur ! quel délire!

Nous l'ouvrîmes alors tout grand sur nos genoux,
Et dès le premier mot il nous parut si doux
Qu'oubliant de jouer, nous nous mîmes à lire.

Nous lûmes tous les trois ainsi, tout le matin,
Joseph, Ruth et Booz, le bon Samaritain,
Et, toujours plus charmés, le soir nous le relûmes.

Tels des enfants, s'ils ont pris un oiseau des cieux,
S'appellent en riant et s'étonnent, joyeux,
De sentir dans leur main la douceur de ses plumes.

dimanche 27 juin 2010

Oh, comme c'est vrai !

vendredi 18 juin 2010

Le vent avait chassé la pluie aux larges gouttes,
Le soleil s'étalait, radieux, dans les airs,
Et les bois, secouant la fraîcheur de leurs voûtes,
Semblaient, par les vallons, plus touffus et plus verts !

Je montai jusqu'au temple accroché sur l'abîme ;
Un bonze m'accueillit, un bonze aux yeux baissés.
Là, dans les profondeurs de la raison sublime,
J'ai rompu le lien de mes désirs passés.

Nos deux voix se taisaient, à tout rendre inhabiles ;
J'écoutais les oiseaux fuir dans l'immensité ;
Je regardais les fleurs, comme nous immobiles,
Et mon coeur comprenait la grande vérité !

jeudi 27 mai 2010

Je me suis acheté un mixer

parce que j'ai décidé de manger de la soupe.

j'ai fait cuire dans l'eau les légumes, parce qu'on fait comme ça, et j'ai plongé le mixer dedans.

Mais en le ressortant, j'avais laissé mon doigt sur le bouton et je m'en suis mis partout.

En plus, les enfants n'aiment pas la soupe.

lundi 3 mai 2010

Ah, vous allez rire, mais moi qui geins toujours (et c'est mal) je n'avais rien à dire sur ce blog depuis son ouverture !

Alors je profite : j'ai du mal à vivre le fait de me sentir peu appréciée au milieu des gens avec qui je bosse.

Voilà comment ça se passe : je re père un comportement de quelqu'un, ou une info, ou d'une façon plus générale, quelque chose qui me semble digne d'attention : je le dis lors de réunion, si c'est pro, ou au café, si c'est perso. Mais mon affreux et horrible manque de confiance en moi fait que je le mentionne doucement, sans pousserdes cris - vous savez, on a tous des collègues qui arrivent en hurlant : vous savez pas la nouvelle ??? Eh bien, ça n'est pas mon genre. Je dis plutôt : j'ai appris que... et d'un air dubitatif. J'ai toujours peur de me tromper ou d'avoir mal compris.

résultat, mes infos sont pasées sous silence, on hoche poliment la tête. Dernièrement, j'ai parfois pris mon courage à deux mains et insisté en revant sur le sujet et en disant : désolée, mais je crois que ce que j'ai mentionné est important, et tout le monde dit "oui oui oui" mais personne n'en parle.

Et puis un ou deux jours après on ne parle plus que de ça, mais l'info vient d'une autre personne que moi : j'ai mis la puce à l'oreille de quelqu'un qui a fait circuler l'info, par son charisme et son attitude.

Il est déjà arrivé que la personne me cite : mais on retient plus le nom de celui ou celle qui est populaire, que tout le monde connait, de la grande gueule, etc.

Voilà. Et ça, j'en ai marre.

J'ai remarqué aussi (car je fais des efforts pour que cela change) que parfois, quand, dès le début, je me montrais plus mordante en évoquant le sujet des le début, plus "agressive", quand je faisais un peu de cinéma... alors on s'intéressait plus à mon info et on enregistrait qu'elle venait de moi.

résultat : si je veux, dans mon boulot, apparaître comme une personne compétente, je dois changer ma façon d'être. Etre plus "actrice".

Cela m'est difficile, et cette "nécessité" me rend plutôt mélancolique. Je voudrais plus être seulement moi-même.

mercredi 28 avril 2010

C'est ce que je pense en lisant ce post. Curieusement.
Le poids de ce qu'on a à faire dans la vie, de tout ce qui nous pèse, et qu'on n'a pas forcément envie de faire.

Et la conséquence, enfin l'effet secondaire actuel, c'est le concept de lâcher-prise. Comment fait-on ?

Comment décide-t-on de lâcher prise, on décide juste, comme cela, et ça se met en place ?

Comment échapper aux influences parfois lourdes de son passé, de son entourage ?